mercredi 13 novembre 2013

Le Trou de Fer

Aujourd'hui, direction Hell-Bourg pour le départ d'une randonnée vers le Trou de Fer.
Nous arrivons plus tard que prévu car nous avons eu des embouteillages monstre à La Possession (d'après la radio, uniquement à cause d'une voiture en panne depuis 5h du matin - nous sommes passés vers 7h, à peu près à la même heure que la dépaneuse)


Le chemin commence par une montée très abrupte (à vue de nez, 500 ou 600 des 820m de dénivelé annoncés).





Arrivées au gite de Bélouve (après 1h20 de marche uniquement en montée), un arrêté préfectoral nous indique que les 300 derniers mètres de la randonnée (c'est à dire l'accès à la plateforme d'observation) sont interdits pour cause de travaux.


Nous décidons de continuer tout de même et, effectivement, à la fin du chemin, une barrière bloque l'accès à la dernière portion.
Heureusement, des personnes arrivent de cette direction et nous indiquent que l'accès est possible. Effectivement, les ouvriers sont au travail mais nous laissent gentiment passer pour découvrir...


Un mur de nuage.
Ils nous disent que la vue se couvre et se découvre régulièrement. Nous mangeons donc notre casse-croute en attendant et nous sommes récompensés quand les nuages se mettent à se dissiper.





Au bout d'à peine un quart d'heure, en quelques secondes, tout redevient blanc.


Nous redescendons donc en en profitant pour prendre des photos des originalités du parcours.
Les racines qui tiennent le chemin par endroit (là où ce n'est pas le travail monstrueux de l'ONF qui permet de rendre le chemin praticable).


Les oiseau colorés et bruyants (celui ci est le seul qui ai bien voulu poser pour l'appareil photo)


Les tamarins et les fougères arborescentes


Et bien d'autres encore...

Le tout fini en 5h40 (pauses comprises) alors que le guide nous indiquait 6 heures de marche.

Au retour, de nouveau des embouteillages, mais cette fois, à cause de la pluie. Tout l'ouest de l'ile subit de gros orages, il y a eu un petit accrochage et en plus, les gens roulent lentement. Arrivées chez nous à 20h passé, nous sommes bien fatiguées.

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