dimanche 3 août 2014

Dimanche : dans la réserve naturelle de Kornati

Notre réveil se fait sous un ciel légèrement brumeux, mais, le soleil se dégage rapidement et après avoir préparé le petit déjeuner, j'en profite pour piquer une tête et sécher pendant que nous mangeons sur le pont.










Avant de partir, nous faisons la vaisselle et préparons notre salade de pomme de terre pour notre repas de midi.







Le départ se fait sous un ciel qui s'assombrit et nous nous dirigeons vers l'orage (il y a même des éclairs)







Nous profitons du temps encore un peu calme pour remplir le journal de bord (pour ceux qui connaissent déjà) ou apprendre a le faire (pour ceux qui ne connaissent pas).







Mais rapidement, ça se gâte et nous devons passer à des tenues plus chaudes et surtout imperméables. Mais ce qui est chouette, c'est que nous profitons des conditions un peu plus fortes pour enfin faire des manœuvres un peu plus rapide et surtout avec de la gite (c'est impressionnant d'être sur le pont quand le bateau penche, mais je trouve que ça l'est encore plus dedans).







À certains moments, on pourrait se croire en Bretagne.







A d'autre, on opte pour l'Irlande ou l'Ecosse.







Finalement, le vent se calme et on est même obligés de mettre le moteur pour rejoindre le mouillage où nous voulons déjeuner.







Une fois à l'ancre, nous pouvons enfin manger la salade préparée le matin. Heureusement que tout était déjà prêt car il est tard et nous avons tous une faim de loup.







À la fin du repas, nous attaquons notre énorme pastèque (notre chef de borda été élu volontaire désigné d'office pour cette tâche délicate).







Pendant le repas, le temps s'est bien dégagé et nous pouvons tester la technique pour monter au mat et ainsi profiter de la splendide vu que cela offre.






















Nous repartons sous le soleil et un gentil vent d'environ 5 noeuds qui nous permet de louvoyer en direction du sud est et de continuer à profiter du parc naturel de Kornati tout en naviguant vraiment à la voile.



On y trouve aussi bien des iles quasi désertiques (avec uniquement des murs de pierres qui délimitent les parcelles)







Que des oasis avec des villas apparemment vraiment jolies.







Un peu avant 18h, le vent tombe de plus en plus et nous finissons par être à l'arrêt. Quitte à ne plus bouger, nous nous mettons en cape (position des voiles pour rester immobiles) et nous nous baignons.



La reprise se fait ensuite au moteur pour arriver au point de rendez-vous avant la nuit.



Mais comme il est déjà un peu tard, nous avons faim et commençons donc l'apéro.









Enfin, nous arrivons au mouillage où des corps-morts nous permettent de nous amarrer sans jeter l'ancre devant un petit hameau que le coucher de soleil rendait encore plus accueillant.











Cette journée bien remplie nous a vidés et après manger, nous ne trainons pas beaucoup avant de nous mettre au lit.













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